Les déperditions énergétiques peuvent être limitées grâce à des travaux de rénovation, et en particulier ceux d’isolation thermique. Il peut s’agir d’un procédé par l’extérieur ou par l’intérieur, et porter sur différents éléments. Par exemple les murs, les combles, le plancher bas et surtout la toiture, car c’est de cette dernière dont proviennent les importantes fuites thermiques. Par ailleurs, les vitrages peuvent aussi améliorer l’isolation du logement : ce sont alors des vitrages isolants acoustiques ; on parle d’isolation thermique renforcée.
Isolation des éléments du bâti
Pour tous ces éléments sus mentionnés, les isolants peuvent être d’origine minérale, végétale, animale ou encore synthétique. Ceux-ci ont chacun leur coefficient de résistance à la vapeur d’eau, leur conductivité thermique ainsi que leur résistance à la chaleur et au feu. Idem en ce qui concerne leur capacité thermique et leur énergie grise.
Ces matériaux seront choisis selon qu’ils sont recyclables et respectueux de l’environnement ou non. Ces critères sont pris en compte dans la rénovation d’un bâti écologique par exemple. Par ailleurs, la durabilité diffère d’un matériau à l’autre, de même que les coûts.
Le choix de chaque matériau par rapport aux éléments à isoler repose donc sur de multiples critères, et il appartient au spécialiste en charge de l’exécution des travaux de les sélectionner afin de garantir qualité et durabilité, en fonction de l’état du bâti et du budget alloué aux travaux. Plus de renseignements sur www. harmonie.fr.
Isolation par les vitrages
Ce sont les fenêtres et les portes à double vitrage ou encore à triple vitrage qui sont utilisées pour obtenir une amélioration de l’isolation au sein d’un bâti. Les feuilles de verre sont placées autour d’un intercalaire étanche, une lame d’air ou de gaz. Cela afin de limiter la conductivité thermique, c’est-à-dire la transmission de la chaleur.
Pour tous ces types de travaux, des subventions de l’État sont disponibles, à condition de confier les travaux à un prestataire RGE.